Un tiers des électeurs coréens investissant dans des actifs virtuels, les candidats à la présidence rivalisent pour proposer des politiques de chiffrement.
Selon Point Daily, le nombre d'investisseurs en actifs virtuels en Corée du Sud est estimé à 16 millions, représentant environ 36 % des électeurs du pays. À l'approche des élections présidentielles du 3 juin, les candidats des différents partis lancent des politiques liées aux actifs virtuels pour attirer les votes. Le candidat du Parti démocrate, Lee Jae-myung, plaide pour l'avancement de la législation sur les actifs virtuels, assisté par des experts en jetons de sécurité ; le candidat du Parti du pouvoir national, Kim Moon-soo, propose de permettre à la pension nationale d'investir dans des actifs chiffrés, d'assouplir le commerce des ETF et les restrictions réglementaires ; le candidat du troisième parti, Lee Jun-sik, insiste sur l'assouplissement de la réglementation sur la blockchain et la promotion du développement industriel.
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Un tiers des électeurs coréens investissant dans des actifs virtuels, les candidats à la présidence rivalisent pour proposer des politiques de chiffrement.
Selon Point Daily, le nombre d'investisseurs en actifs virtuels en Corée du Sud est estimé à 16 millions, représentant environ 36 % des électeurs du pays. À l'approche des élections présidentielles du 3 juin, les candidats des différents partis lancent des politiques liées aux actifs virtuels pour attirer les votes. Le candidat du Parti démocrate, Lee Jae-myung, plaide pour l'avancement de la législation sur les actifs virtuels, assisté par des experts en jetons de sécurité ; le candidat du Parti du pouvoir national, Kim Moon-soo, propose de permettre à la pension nationale d'investir dans des actifs chiffrés, d'assouplir le commerce des ETF et les restrictions réglementaires ; le candidat du troisième parti, Lee Jun-sik, insiste sur l'assouplissement de la réglementation sur la blockchain et la promotion du développement industriel.